Le fonctionnaire et le génie

Un fonctionnaire dépoussière son bureau. Il aperçoit une lampe à huile dorée et commence à l’astiquer. Un génie fait son apparition au beau milieu d’un nuage de fumée :
– Je suis le génie de la lampe et je t’accorde trois souhaits.
– Je voudrais être beau.

Aussitôt, le génie le transforme en bel homme. Le fonctionnaire demande ensuite :
– Je veux vivre dans une île uniquement peuplée de jolies femmes !

Et d’un claquement de doigt, le génie l’envoie sur une plage de sable blanc, entourée par de belles femmes. Le fonctionnaire énonce son dernier voeu :
– Je voudrais ne plus jamais avoir à travailler !
Et POUF ! Le fonctionnaire se retrouve assis à son bureau.

La vieille et le train

C’est une vieille dame dans le train qui répète sans cesse :
– Où est ma boulette ? Où est ma boulette ? …
Un voyageur aimable s’approche de la dame et lui dit :
– Je vais vous aider à retrouver votre boulette, comment est-elle ?
La vieille dame lui répond :
– Elle est verte ma boulette.
Le voyageur fait ses recherches sans succès, puis retourne auprès d’elle :
– Toutes mes excuses mais je n’arrive pas à retrouver votre boulette.
La vieille dame se fourre un doigt dans le nez et lui répond :
– C’est pas grave… Je vais en faire une autre.

Le pharmacien et le canard

Un canard entre dans une pharmacie :
– Bonjour monsieur le pharmacien !
– Bonjour monsieur le canard !
– Avez-vous du raisin ?
– Non. Ce n’est pas une supérette mais une pharmacie.
Le lendemain, le canard retourne dans la pharmacie :
– Bonjour monsieur le pharmacien !
– Bonjour monsieur le canard !
– Avez-vous du raisin ?
– Non mais si vous me demandez la même chose demain, je vous cloue sur place !
Le jour d’après, le canard revient dans la pharmacie :
– Bonjour monsieur le pharmacien !
– Bonjour monsieur le canard !
– Avez-vous des clous ?
– Non !
– Bon alors, avez-vous du raisin ?

Epouser un banquier

Un banquier épouse une femme, auparavant mariée 6 fois.
Au cours de la nuit de noce, la jeune femme dit à son mari :
– Mon chéri, sois plus doux, s’il te plaît. Je suis vierge.
– Comment ? Mais tu as déjà été mariée 6 fois.
– Oui mais voici l’histoire :
Mon premier mari était psychiatre et se contentait de parler sexe.
Mon deuxième était gynécologue et ne faisait qu’ausculter.
Mon troisième était philatéliste et ne faisait que lécher.
Mon quatrième mari était manager des ventes, disait qu’il connaissait bien le produit, mais ne savait comment l’utiliser.
Le cinquième était fonctionnaire et affirmait qu’il savait ce qu’il fallait faire, mais que ce n’était pas de sa compétence.
Mon sixième mari était informaticien et disait que si tout fonctionne normalement, mieux vaut ne toucher à rien.
Enfin, je t’ai épousé toi, un banquier, pour être certaine de bien me faire baiser !

3 femmes dans un ascenseur

Une vieille dame se trouve dans un ascenseur, qui s’arrête à un étage. Une belle femme parfumée entre et dit :
– DIOR, 100€ la bouteille !
La vieille ne réagit pas. L’ascenseur s’arrête à l’étage suivant, une femme plus belle entre et dit :
– CHANEL, 200€ la bouteille !
La vieille ne réagit toujours pas. Arrivée au RDC, la vieille lâche un énorme pet en sortant de l’ascenseur, et dit :
– FLAGEOLET de chez LIDL, 49 centimes la boîte !

3 hommes et un sandwich

Chaque midi, trois ouvriers du bâtiment – un français, un allemand et un belge – se retrouvent sur le toit d’un bâtiment.

Le français ouvre son sac et voit un jambon beurre à manger, craque et dit :
« ça fait 20 ans que je travaille et 20 ans que je mange la même chose, si demain j’ai la même chose, je me suicide ».
L’allemand ouvre son sac, voit une choucroute et dit la même chose.
Le belge ouvre son sac, voit des moules frites et dit la même chose.

Les 3 hommes se retrouvent le lendemain midi.
Le français a encore un jambon beurre. Il saute du bâtiment.
Même repas pour l’allemand, qui se suicide.
Même chose pour le belge, qui saute à son tour.

A l’enterrement, leurs femmes se retrouvent en pleurs.
La française dit :
« Je ne comprends pas, s’il m’avait prévenu, je lui aurais cuisiné autre chose ».
L’allemande réagit pareil.
La belge encore plus effondrée que les autres, dit à son tour :
« Je ne comprends pas, c’est mon mari qui cuisinait ses plats… »